PARIS, DEBUT DU XXe SIECLE.
La porte vers la capitale d’OutreMonde, Ambremer, amène bien des Merveilles au Paris du siècle passé : la tour Eiffel est bâtie d’un bois blanc qui chante à la Lune, sur les Champs-Élysées, le feuillage des arbres diffuse à la nuit une douce lumière mordorée, et les créatures féeriques vivent parmi les hommes.
Alors que tous ne songent qu’aux prochaines élections du Parlement des Fées, Griffont doit aider un ami soupçonné du meurtre d’un mage du Cercle Incarnat. De son côté, Isabel se trouve aux prises avec de dangereux anarchistes venus de l’OutreMonde et bien décidés à ensanglanter Paris pour se faire entendre. Mais bientôt Griffont et Isabel découvriront que ces deux affaires sont liées, et lèveront alors le voile sur un secret ancien susceptible d’ébranler le trône d’Ambremer.
BIENVENUE DANS LE PARIS DES MERVEILLES.
Dernière plongée dans le Paris des Merveilles de Pierre Pevel, après Les Enchantements d’Ambremer et L’Elixir d’Oubli, j’ouvre le 3ème et dernier de la série avec grand plaisir mais aussi une petite pointe de tristesse car je m’étais attachée aux deux héros et à ce Paris fantasmé 😀
Une nouvelle fois, Louis Denizart Hippolyte Griffont et la Baronne Isabel de Saint-Gil se retrouve embarqués dans une histoire qui les dépasse sans qu’ils n’aient rien demandés et une nouvelle fois, ce qui ressemble à un sac de nœud n’en n’ait pas vraiment un.