Octobre 1925. À Blackmore, une île coupée du monde au large de Guernesey, meurtres et disparitions sèment la terreur. Alors que la police piétine, Lorraine Chapelle, première femme diplômée de l’Institut de criminologie de Paris, est appelée en renfort. Cette cartésienne irréductible va devoir mener l’enquête aux côtés d’Edward Pierce, un Britannique spécialisé dans les sciences occultes qui se présente comme » détective de l’étrange « .
Ensemble, ils affrontent les plus sombres secrets de Blackmore : les statues énigmatiques disséminées sur l’île, la rumeur d’un culte maléfique qui sévirait dans l’ombre, et ce vent lancinant, le murmure des brumes, qui ne cesse jamais. Entre mensonges et confidences, ce duo improbable devra démêler le vrai du faux dans une course contre la montre diabolique.
Jusqu’à cette année, je ne connaissais Henri Lœvenbruck que de nom, je n’avais pas encore eu l’occasion de lire un de ses romans. Le résumé des Disparus de Blackmore avait titillé ma curiosité et puis, l’éditeur annonçait un « thriller palpitant et mystérieux dans la lignée de H.P. Lovecraft et d’Agatha Christie » Il ne m’en fallait pas plus pour que je craque 😆
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