Rien ne prédestinait Violet Sorrengail à être une cavalière. Elle était censée intégrer le quadrant des Scribes et mener une vie tranquille parmi les livres. Elle dont les os sont si fragiles qu’ils peuvent se briser en un instant…
Mais aujourd’hui est le jour des conscriptions, et en tant que fille de la Générale – elle-même cavalière et dresseuse de dragons -, Violet n’a d’autre choix que de satisfaire les ordres de sa mère, et de rejoindre les épreuves de sélection pour devenir dragonnière… L’élite de la Navarre !
Pourtant, le simple fait d’envisager s’inscrire à cette compétition lui paraît ridicule… Car les dragons ne se lient pas aux humains « fragiles » : ils les brûlent ! Mais Violet est peut-être la candidate la moins forte physiquement, elle est cependant rusée et rapide. Des qualités indispensables quand on évolue dans un monde sans foi ni loi, où les alliés peuvent vite devenir des ennemis, ou peut-être encore des conquêtes… Violet va vite devoir penser à un plan solide, car cette compétition n’a que deux issues : passer toutes les épreuves ou mourir !
Alors, alors, alors… Par où commencer ? Je suis réellement partagée à l’écriture de cette chronique parce que je comprends la hype autour du roman MAIS (oui, oui, un très gros mais en majuscule), il souffre de trop nombreux défauts pour que je le considère comme un bon roman. Je vais être honnête, je vais tout de même lire la suite, parce que j’ai envie de savoir comment ça va se terminer mais probablement en mode diagonale express. Je pourrais résumer le roman par une pincée de Hunger Games saupoudré d’un peu de Games of Throne avec un soupçon de Harry Potter et tadam !!! Vous obtenez Fourth Wing…
Sans surprise, la chronique est un peu brute de décoffrage 😆